Le 29 novembre dernier, la clôture du Stage technique international d’archives (STIA) a réuni officiels et participants autour d’une cérémonie marquant l’aboutissement de trois semaines d’échanges et d’apprentissage. Cette formation, portée par des valeurs de partage et de coopération, joue un rôle clé dans le renforcement des compétences des archivistes francophones à travers le monde.
Le Stage technique international d’archives (STIA) 2024 s’est achevé en présence de représentants diplomatiques – Bruno Marien, consul général à l’Ambassade du Royaume de Belgique, Josué Kumuamba Lukanda, 2ᵉ conseiller d'Ambassade, République démocratique du Congo, Nazhla Abad, conseillère, cheffe de chancellerie, Chili, Ziad Taan, chargé d'Affaires a.i., Ambassade du Liban en France – ainsi que de Françoise Banat-Berger (SIAF) et Séverine Blenner-Michel (Inp), qui ont remis aux stagiaires leur attestation de fin de formation, et de Bruno Ricard, directeur des Archives nationales. Cet événement symbolique a permis de mettre en lumière l’impact de cette formation unique, dédiée à l’acquisition et au partage des savoir-faire archivistiques.
Durant leurs trois semaines de formation, les participants ont bénéficié de nombreuses interventions de professionnels français couvrant l’ensemble de la chaîne archivistique. À l’occasion de plusieurs visites à Paris et à Nantes, au sein d’institutions prestigieuses, ils ont également pu échanger et confronter leurs expériences professionnelles, aussi riches que diversifiées (de la présentation de la Bibliothèque orientale de l’Université Saint-Joseph de Beyrouth, au Liban, aux problématiques de conservation des archives de l’Institut supérieur en sciences infirmières…). Ces moments d’échange, enrichis par la diversité des parcours professionnels, illustrent la vocation du STIA : renforcer la coopération internationale dans le domaine des archives.
Grâce au partenariat avec le Portail international archivistique francophone (PIAF), le journal de bord en ligne permet à toute la communauté archivistique de suivre les temps forts de cette édition, témoignant d’un engagement commun pour la valorisation et la préservation des patrimoines documentaires francophones.